JUSTICE BIZARRE AUX PRUD'HOMMES
Sollicitation du Ministère de La Justice via Internet
Retour au document index (ancienne version): INDEX.HTMIntervention internet
Au 27 juillet 1999, il n'y a pas eu d'écho à mon courrier
du 15 juin.
Le document était transmis sans cacher les noms et lieux comme
ici. De plus les divers documents étaient joints.
Web Justice
-----Message d'origine-----
De : xxxxxxxxxxr <xxxxxxxxxxx> (l'adresse
ne marche plus, il faut ajouter le prénom)
À : ministere@justice.gouv.fr <ministere@justice.gouv.fr>
Date : vendredi 2 avril 1999 17:19
Objet : Message venant du Web Justice
>MAIL WEB JUSTICE
>Adresse Email = xxxxxxxxxx
>Nom = XXXXXXX
>Société = XXXXXX
>Fonction = xxxxxxxxx
>Adresse = xxxxxxxxxxxxxxx
>Code Postal = XXXXX Ville : XXXXXXXX
>Pays : FRANCE
>Sujet = DROIT SOCIAL - DYSFONCTONNEMENT -
>Message :Cas avec mon épouse.
>Rien à voir avec mon entreprise.
>
>Comment se fait-il que le licenciement verbal soit encore validé
comme une démission ?
>Prud'hommes de XXXX : "Il y a lieu de
considérer une démission" (jugement prononcé en 1996)
>Employeur dispensé du paiement du solde de tout compte qu'il
avait pourtant reconnu comme non payé.
>Signature en faux de ce document par l'employeur.
>
>Comment se fait-il qu'une Cour d'APPEL juge un appel irrecevable
>"Seules doivent être considérées les demandes
financières..."
>
>Alors que la Cassation soulève d'office les demandes indéterminées
>(en conformité avec les textes art 40 NCPC)
>pour juger irrecevable un pourvoi en cassation sur ce même jugement.
>"jugement inexactement qualifié en dernier ressort"
>et condamne aux dépens alors que le classement n'est pas fait
à la demande des parties.
>
>Contradiction absolue - thèses inconciliables !
>
>J'aimerais votre avis.
>Une partie de réponse est malheureusement évidente.
>
>N.B. En appel, l'avocate adverse s'était ménagé
une excuse pour rencontrer l'équipe
>du tribunal juste avant audience (dépôt des conclusions
qui a nécessité un
>voyage le matin, au lieu de faire le voyage juste pour l'audience)
!!
>Mention du dépôt le matin fait en audience.
-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-
Monsieur,
Le ministère de la Justice a bien reçu votre message.
Il est actuellement examiné par le Bureau du Cabinet du Garde
des Sceaux,
qui l'orientera vers le service compétent et un courrier vous
sera adressé
par écrit dans les jours qui viennent.
Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes salutations
distinguées.
Le Chef du Bureau du Cabinet
-----------------------------------------------
Ministère de la justice
http://www.justice.gouv.fr
-----------------------------------------------
REPUBLIQUE FRANCAISE
Paris, le 9 JUIN 1999
MINISTERE DE LA JUSTICE
Le Chef de Cabinet
du Garde des Sceaux
Ministre de la Justice
Référence à rappeler : CAB/REQ/SM/GM/MI/P160754
xxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxx
XXXXX xxxxxxxxxxxx
Monsieur,
Vous avez bien voulu appeler l’attention de Madame Elisabeth GUIGOU, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, sur des décisions de Justice qui auraient été rendues dans le cadre d’une procédure prud’homale.
Elle m’a chargé de transmettre votre courrier à Monsieur le Directeur des Affaires Civiles et du Sceau, auquel elle a demandé de procéder à un examen attentif de ce dossier et de vous informer de la suite susceptible de lui être réservée.
Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments
les meilleurs.
(signature)
Seymour MORSY
Ministère de la Justice 13, Place Vendôme 75042 PARIS Cedex
01
XXXXXXXX
le 15 juin 1999
xxxxxxxxxx
XXXXX xxxxxxxxxxxxx
Votre référence : CAB/REQ/SM/GM/MI/P160754
Intervention internet
Dysfonctionnement :
Cour de Justice - Prud’hommes
Monsieur,M. le Chef du Cabinet du Garde des Sceaux
Ministère de la Justice
13, place Vendôme
75042 PARIS Cedex 01
XXXXXXXXXXX
Tél XX XX XX XX XX
(domicile) - XX XX XX XX XX (travail)
xxxxxxxxxxx@xxxxxxx.fr (domicile)
xxxxxxx@xxxxxx.fr (ne
marche plus) ou xxxx-xxxxxxx.xxxxxxx@xxxxxx.fr
(travail) (prénom complet)
Arrêt de la Cour d’Appel d’XXXXX
MOTIVATION DISCRIMINATOIRE.
Si l’arrêt a été négocié hors audience
pour des raisons qui échappe au Droit, il faut quand même
trouvé un semblant de motivation légale.
Il y a l’article 40 NCPC qui précise que les jugements statuant
sur des demandes indéterminées (valeur financière)
sont susceptibles d’appel. L’arrêt exprime une règle sur cet
article, mais la salariée, Mme (LLLLL),
n’a pas le droit d’en profiter. Peut être qu’un employeur aurait
pu en profiter.
« Seules doivent être considérées les demandes
financières de la salariée. »
Arrêt d’un premier pourvoi en Cassation
A juste titre, selon les textes, le pourvoi concernant la première
instance a été rejeté.
« inexactement qualifié en dernier ressort », donc
le recours normal (appel) était possible. C’est le motif du rejet
du pourvoi.
J’étais arrivé en retard. L’énoncé de notre
cas était en cours. J’avais entendu la fin seulement. Nous étions
condamnés à 3 500 F selon l’art 700 NCPC. Le jugement écrit
tardant, j’ai fait une lettre d’intention de recours. La condamnation selon
l’art 700 a disparu. A la réception du pourvoi en Cassation, le
greffe de XXXX a traité le courrier
d’intention de recours comme appel ferme (1 mois ½ après
réception). J’ai été surpris de la convocation en
appel malgré les courriers. En réfléchissant suite
à cette convocation, j’ai défendu les demandes indéterminées.
A tort selon l’appel, à raison selon la Cassation.
La condamnation aux dépens (Cassation) est symbolique dans notre
cas. Elle peut amener à une réflexion. Un collègue
de travail, dont le pourvoi a été rejeté pour ce motif,
a dépensé environ 10 000 F d’avocat pour lui et a été
condamné à 9 000 F art 700 NCPC. Il a de plus dû déménager
suite au jugement qualifié injustement en dernier recours.
Le choix entre « en dernier ressort » et « en premier
ressort » n’est pas une demande des parties, mais la seule évaluation
du Tribunal. La charge d’une erreur doit revenir à la partie qui
l’a faite ou demandé. Ici, c’est le seul Tribunal, c’est l’État
qui devrait prendre en charge.
Il y a contradiction complète entre les deux arrêts (voir
art 618 NCPC).
Comment peut on écrire « Au nom du peuple français
» dans les deux cas.
Problème lié à la c....
EXISTENCE D’UNE C.....
Le jugement et l’arrêt sont tellement aberrants vis à
vis du bon sens qu’on peut se poser des questions. Ils sont aussi en contradiction
flagrante avec le Droit.
Devant Rosalie, la gérante s’était vantée d’avoir
des copains aux Prud’hommes. Il s’agit de juges non professionnels, c’est
la greffière qui est le garant du Droit. Mais ce n’est pas une preuve.
Mais pour la Cour d’Appel, c’est différent.
D’abord, l’avocate s’était donné une excuse pour rencontrer
l’équipe du Tribunal. Elle a déposé ses « écritures
» le matin pour une audience l’après midi. La mention a été
faite en audience publique. Ce n’était certainement pas pour faire
du tourisme (sous la pluie) que l’avocate s’est rendue à XXXXXX(Cour
d'appel) dès le matin, mais pour négocier.
Mais il fallait que l’avocate fasse spécialement un voyage de
Paris à XXXXX, alors qu’elle aurait
pu poster simultanément ses écritures à nous et à
la Cour d’Appel.
Mais il y a mieux : l’avocate de la SARL (JJJJJJ)
se vante de son exploit.
Non seulement, elle a obtenu une décision normalement impossible,
mais en plus elle a obtenu le remboursement.
La mention contenue dans le jugement est particulièrement choquante.
En fin d’emploi, il y a toujours les congés payés à
solder.
« En règlement des causes de cette décision, …
un chèque de 3000 F »
Si la décision a été causée par l’argent,
c’est une c...... C’est l’avocate qui l’écrit.
PAIEMENT D’UNE C....
Tout paiement est normalement interdit lorsqu’il y a c....
En théorie, je suis susceptible de poursuites judiciaires pour
avoir remboursé une corruption manifeste.
Mais je n’avais pas le choix.
La Cour d’XXXXXX a rendu son arrêt
exécutoire. J’ai fait un chèque de 3747 F 86 à l’huissier.
Il fallait sans doute être forcé pour être moins susceptible
de poursuites judiciaires.
HORS D’ATTEINTE.
Si l’avocate s’est vantée, c’est qu’elle s’estime hors d’atteinte
de sanction. Il me semble qu’une Cour de Justice collégiale soit
selon les textes hors d’atteinte de toute sanction. La révolution
de 1789 a été oubliée. Il y a les privilégiés.
Ceci est soumis à votre réflexion.
DIVERS - CAUSES DES ANOMALIES.
Au départ, nous ne demandions qu’une reconnaissance des faits
et être dédouanés d’une accusation possible pour des
salaires partiellement au noir (70 % du SMIC, évaluation personnelle).
Nous voulions laisser l’évaluation financière aux juges.
D’où une audience annulée, qui l’aurait été
de toute façon, les conclusions de l’employeur envoyées pour
être reçues le matin avaient été mises en instance
à la poste et étaient inaccessibles. A ce moment là,
nous craignons que l’Administration saisisse la moindre anomalie pour nous
attaquer, nous avions eu un problème d’une extrême gravité
pour faire entrer les 3 enfants de Rosalie en France. (Voir dans la suite
du document).
Maintenant, nous évaluons l’importance du préjudice,
et les manœuvres de la SARL (JJJJJJJ) nous
incitent à demander le maximum, c’est à dire à considérer
qu’un licenciement verbal n’a pas d’existence, et que l’intégralité
des salaires est dû jusqu’au licenciement à venir. Ce sera
notre prochaine demande s’il y a une prochaine fois, soit 5 ans de SMIC,
soit environ 400 000 F.
Pourquoi ces décisions de Justice bizarres ?
La famille de l’employeur tient trois restaurants à XXXXX,
deux (l’auberge Saint XXXXXX et le XXXXXXX)
sont tenus par le beau frère de la gérante et celui ci (XXXXXXXX,
repas à la mode japonaise) est séparé administrativement.
Quand on a reçu M. Jacques CHIRAC (auberge Saint XXXXX)
invité par le député de cette époque, on peut
se permettre bien des choses.
Pour l’employeur, ce serait ouvrir une brèche et cela pourrait
donner des idées à la main d’œuvre exploité sans vergogne.
A la fois pour la gloriole de ne pas perdre la face et pour ce motif, il
faut gagner à tout prix. L’employeur est prêt à toutes
les extrémités, même si financièrement le cas
était, au départ, financièrement pour lui négligeable.
Appels téléphoniques anonymes (silencieux)
Au moment des dates clés de la procédure. Le Procureur
de XXXXX (ville de TGI) a averti l’employeur
que nous les avions signalés. Il y a eu une pause et ils ont repris
très courts. Maintenant, c’est calme, nous avons demandé
spécialement la présentation du numéro d’appel. Mais
l’employeur utilise le secret du numéro d’appel.
Sabotage de véhicule (direction)
Écrou « nil stop » sur une rotule de direction.
Il est parti en laissant ses filets sur la tige filetée. Cela n’arrive
jamais selon les professionnels de la route sans une « aide ».
Mais on n’a pris personne sur le fait (main courante en gendarmerie).
J’ai eu de la chance, je suis resté en ligne lors de l’embardée.
L’accident aurait pu être très grave.
Si c’est vraiment un sabotage, c’est une tentative de meurtre.
HISTORIQUE
Mon épouse a travaillé du 16 janvier 1995 au 13 mai 1995
au restaurant XXXXXX.
D’origine étrangère, c’était son premier travail
français.
Un travail, c’est aussi une reconnaissance sociale.
Elle a été licenciée verbalement le 13 mai certainement
pour avoir demandé l’immatriculation à la CPAM qui n’avait
pas été demandée par l’employeur.
L’employeur déclare que l’embauche a été faite
le 1er février à temps partiel. Il affirme qu’il s’agit d’une
démission (mention sur tous les documents légaux).
Selon les affirmations enregistrées dans le jugement de XXXX,
une dispute avec la gérante aurait eu lieu et Mme (LLLLL)
se sentant incompétente aurait démissionné et abandonné
son poste.
Une lettre de démission a été réclamée
ce soir là (pas de preuve). Mon épouse a refusé.
J’avais prévu aller la chercher à l’heure habituelle
(vers 1 heure du matin), elle a dû revenir vers minuit à pied
en quartier non sûr et a attrapé une bronchite. D’où
un arrêt de travail.
Il n’y a pas eu de mise en demeure de reprendre le travail, et donc
aucune procédure de licenciement pour absence.
Il y a tricherie lourde sur les horaires. La Cour d’Appel a enregistré
l’incohérence entre les horaires déclarés et les avantages
en nature (fiches de salaire).
Pour comprendre les fiches de salaire.
* Rosalie a travaillé du 16 janvier au 11 février avec
un horaire que nous évaluons à 55 heures par semaine. Trop
fatiguée, sur un faux geste, elle s’est fait mal au dos le 11 février.
C’est pourquoi, nous trouvons une déclaration de 4 semaines
d’essai (double période de 15 jours) dans les écritures de
l’employeur (traduites dans le jugement). Mais nous ne trouvons pas en
février un temps de travail correspondant à ces 4 semaines
!
* Rosalie a été remplacée, mais elle a continué
le samedi soir uniquement. Elle avait aussi besoin de quelques jours pour
raisons médicales programmées (xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx).
* Le remplaçant fuyant un travail au noir (manque de vérification
de l’ANPE !) (mention de la gérante de cet emploi dans ses conclusions
!), (prénom Mme LLLLLLL) a retrouvé
son poste, mais elle a demandé une réduction du temps de
travail (partage avec une autre employée). (prénom
Mme LLLLLLL) a compté 160 heures pour 29 repas en avril 1995.
L’employeur a déclaré 65 heures, mais 22 repas en avantage
en nature (3 heures par repas, fin le soir à 21 heures — invraisemblance).
La remise des documents de fin de travail (antidatés bien sûr,
fait qui peut être prouvé) a eu lieu plus de 2 mois après
le renvoi. Comme il manquait une lettre de licenciement, l’employeur a
voulu la remplacer par un témoignage. Occupée à synchroniser
la conversation et la présence de son témoin, la gérante
a signé les documents sans regarder. En particulier, elle a signé
le solde de tout compte sans le payer, faisant ainsi un faux en écriture.
Rosalie était libre de sa décision :
- Le salaire n’était pas conforme.
- Elle avait été renvoyée 2 mois avant, et il
n’y avait pas eu d’excuse (même informelle).
- Le départ en vacances de toute la famille était proche.
- Au retour de vacances, une intervention chirurgicale était
programmée.
(médical pas sur internet).
AUTRE PROBLÈME DE JUSTICE (+ préfecture + consulat)
(C'est une autre affaire que j'ai communiqué
en même temps. Elle était d'une gravité extrème
(et disproportionnée). Elle est reliée à l'affaire
des Prud'hommes, nous avons craint que le moindre faux pas vrai ou supposé,
nous fasse de nouveau subir les foudres de l'Administration. J'estime que
nous nous sommes comportés dignement à l'étranger.
Ce que des fonctionnaires ont essayé de m'imposer était moralement
inacceptable et aurait déshonoré les Français. Il
y a eu des étincelles inimaginables.)