ECRITURES EMPLOYEUR POUR L'APPEL

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Les écritures de l'avocate pour l'audience d'appel d'AMIENS. Les mensonges sont flagrants pour quelqu'un qui connaît un peu le Droit. Bien sûr, il a fallu une "aide" pour que ces conclusions soient acceptées par la Cour d'Appel. L'avocate se vante d'avoir obtenu que le tribunal ordonne le remboursement de ces frais (ayant causé la décision). Certains mensonges sont personnels à l'avocate et ne peuvent avoir été communiqués par la gérante.
Il y a les conceptions particulières de droit à propos d'une démission. Une seule attestation de salariée (par ailleurs litigieuse et ne datant pas les faits) indique que mon épouse a refusé de reprendre le travail.
Que pensez des affirmations sans l'ombre d'une preuve, et qui en fait sont fausses. (appels téléphoniques pour reprendre le travail). Dans la liste des pièces prouvant soi-disant la date d'embauche, aucune n'est signé de la salariée (même le solde de tout compte, signé en faux par la gérante).
L'avocate reprend certains points de nos écritures, en particulier la mention que le jugement du conseil des Prud'hommes était susceptible d'appel, mais elle "oublie" de répondre à l'argumentation. En audience, elle a joué à celle qui ne connaissait pas nos écritures.

Un avocate est une auxiliaire de Justice qui a juré l'honnêteté. Selon moi, elle a renié son statut d'avocate. Ceci devrait être constaté pour la radier du barreau (ce n'est même pas une sanction, elle usurpe une fonction).

Le document au scanner est plus difficile à lire que la recopie (voir "appel.htm"). Mais cette copie prouve qu'il ne s'agit pas de fiction.

 

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